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11 février 2013 1 11 /02 /février /2013 23:56

Je voulais revenir sur la grosse actualité du Loner en 2012. Ce n’est pas un mais deux albums studios de Neil que l’on a eu la surprise de découvrir dont le gargantuesque « Psychedelic Pill », double disque qui a réussi l’exploit de se hisser au niveau de ses meilleurs. Un pic orgasmique de Folk élégiaque, de Blues-rock tellurique trempé dans un bain de jouvence Psychédélique.

Je soumets à votre attention un élément essentiel et capital que tout amateur de l’artiste pourra appréhender à sa juste valeur. Ces deux disques marquent le retour de son fidèle et mythique groupe, Crazy Horse, absent de sa discographie depuis 2003 (« Greendale »). Et ces retrouvailles sont totales car c’est le Crazy Horse dans sa formation originale qui est de retour soit Billy Talbot à la basse, Ralph Molina à la batterie et "Poncho" Frank Sampedro à la guitare.

 

Mais cette double sortie discographique s’accompagne d’un autre événement de taille. Dans sa frénésie créative, Neil a même écrit ses mémoires. Ajoutons donc la publication d’un livre sobrement intitulé « Une biographie ». Et de trois !!! Alors là, on ne peut qu’admettre l’évidence : 2012 restera comme un crû d’exception dans l’œuvre Neil Young-ienne.


NeilYoung&CrazyHorse-2012-PsychedelicPillsNeilYoung-CrazyHorse-2012-PsychedelicPills-2LP.jpg

 

NeilYoung-2012-UneAutobiographie

 

Mais ce n’est pas fini car en ce début d’année 2013, la version française du documentaire de Jonathan Demme « Journeys Neil Young » est enfin disponible en DVD ! Décidément, rien n’arrête la puissance créative de Neil Young qui semble plus en forme que jamais. Vivement la suite !!!!

JonathanDemme-2012-Neil-Young-Journeys


Et pour conclure, le morceau de bravoure "Driftin' Back" 

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12 décembre 2012 3 12 /12 /décembre /2012 01:30

1Chromatics-KillForLoveChromatics-2012-RunningFromTheSun.jpg

« Kill For Love » + « Running From The Sun » - Chromatics 2012 (Italians Do It Better)

 

 

En mars dernier, Chromatics a sorti « Kill For Love » (que je n’ai hélas découvert seulement), alternance d’atmosphères éthérées (Synth-pop, Dream Pop et Ambiant Pop) et d’ambiances nettement plus électroniques ou dance floor (néo Disco, Downtempo). 

Ce superbe et très (trop ??) long disque (78 min) truste la tête de plusieurs top albums (MAGIC ou Gorilla Vs Bear) et se retrouve dans de nombreux autres à divers rangs. Et en novembre a suivi « Running From The Sun », sorte de mixtape faite de versions inédites et de nouveaux morceaux édité sur une seule piste de 34 minutes. Les deux sont parus chez Italians Do It Better.

 

Le morceau qui ouvre « Kill For Love » est une magnifique et sensuelle reprise de l’immense classique de Neil Young « Hey, Hey, My My (Into The Black) » (extrait de « Rust Never Sleep » 1979).

 

 

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5 juillet 2012 4 05 /07 /juillet /2012 22:48

Les premiers jours d’été, le soleil et la chaleur. Comme une envie d’écouter une musique remplie de grands espaces et d’infini, mais d’une immensité à taille humaine. Neil Young, 1975, « Zuma » et son morceau devenu mythique, « Cortez the Killer ».

C’est une superbe ballade psychédélique et mélancolique à travers les terres contrastées du Folk, du Rock voir du Blues. Ce voyage musical, traversé par des fulgurances de guitares épileptiques, est comme un cri dans la nuit déchirant le silence assourdissant.

C’est un des grands morceaux du Loner, un classique de son répertoire créé avec ses fidèles Crazy Horse et qu’il a joué tout au long de se carrière. En voici trois versions :

 

1975, l’originale

1979, film « Rust Never Sleep »

1991, Live « Weld » (tournée dont Sonic Youth assura les premières parties)

 

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16 novembre 2010 2 16 /11 /novembre /2010 17:47

 

Hier soir, j’ai mis en ligne ce post sur « Like A Hurricane », plusieurs versions. Ce matin, ne travaillant pas, j’ai revisionné les deux vidéos du Loner, surtout la deuxième. Et là, je me suis rendu compte que je n’avais pas tout dis, qu’envahi par tant d’émotions musicales, il fallait que j’écrive. De plus, je repense à ce film que j’ai regardé ensuite hier soir, « La Route », adaptation plutôt réussie du roman de Cormac MacCarthy (dont j’aimerai vous reparler).

Cette seconde vidéo, extraite du film « Year Of The Horse » (Jim Jarmusch), est splendide (pas la piètre qualité visuelle mais la force dégagée). Elle commence par la fin d’un morceau (je ne sais plus lequel), passage très noisy, larsens et instruments malmenés, tout de bruit blanc et de fureur comme du My Bloody Valentine ou Sonic Youth. Et là, au milieu de ce chaos sonique, émergent ces premières notes à la pureté cristalline, immédiatement identifiables : celles de « Like A Hurricane », mon Neil Young préféré, avec « My My, Hey Hey (Out of the blue) » !

Un voile de douceur s’abat alors sur la scène et l’on saisit (tout comme le public en transe) que le grand moment d’apothéose du concert arrive. Mais le génie de Jarmusch, c’est qu’au début du chant de Neil, il superpose à cette image (par un magnifique fondue-enchainé) une autre image issue du même morceau, mais dix plus tôt. Flash-back ! On voit le même Neil, cheveux longs, voix à l’identique et son fidèle groupe The Crazy Horse mais quelques années en moins. Et toujours la même puissance scénique se dégage. La magie opère et ce moment résume toute ma croyance et ce que j’aime en cet artiste.

Pour terminer le morceau, retour au chaos sonore du début, telle une boucle temporelle. Neil pose sa guitare et manipule les énormes bougies disposées sur la scène, tel un chamane dans un rite hypnotique sacré ! Comme le dit Jarmusch dans « Year Of The Horse » :

« Neil est à la fois le feu sacré et l'homme qui veille sur le feu sacré ».

Et la boucle est bouclée, « Rock’n’roll is here to stay » !!!

 

Mais pour changer, une autre version live de “Like a Hurricane” tout aussi énergique et puissante (Live at "Cow Palace", San Francisco (CA), 21/11/1986)

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15 novembre 2010 1 15 /11 /novembre /2010 22:15

Neil Young "Unplugged" (1993)

Neil Young ("Broken Arrow" Tours 1996)

Vidéo issue du film “Year Of The Horse” de Jim Jarmusch où alternent images d’archives et du concert de la tournée 1996, de ce même morceau. Un grand moment d’anthologie, épique, tout de bruit et de fureur. Le Loner & The Crazy Horse au sommet de la grâce et de la beauté !!!

The Walkabouts "New West Motel" (Sub Pop, 2xLP, 1993)

Niels Lofgren "The Loner, Niels Sings Neil" (acoustic version)

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14 novembre 2010 7 14 /11 /novembre /2010 00:44

Pour la rubrique "1 titre, plusieurs versions", ce soir spécial "Vampire blues" du grand Neil Young. Ce titre est issu d'un des ses plus grands albums "On The Beach" (1974), entre FolkRock & Blues rock épileptique et mélancolique.

Et vous, en connaissez-vous d'autres ???? Si oui, n'hésitez pas à me le faire savoir, merci !!!

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3 octobre 2010 7 03 /10 /octobre /2010 17:48

Actuellement, suite à son dernier album, est disponible sur Youtube une vidéo tournée par Adam Vollick, dans un noir & blanc magnifique et d’une durée de 39 min environs. On y voit le loner (qui n’a jamais aussi bien porté son surnom) avec ses guitares acoustiques et électriques (et divers effets) interprété ses 8 derniers titres de « Le Noise » !

 

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29 septembre 2010 3 29 /09 /septembre /2010 18:53

N.Young-2010-copie-1.jpg

Neil Young "Le Noise" (Reprise, 2010)

 

Ce mardi 27 septembre, le Loner alias Neil Young est de retour ! Il sort son nouvel album, "Le Noise", un ans après "Fork in the road".

Tel un griot africain, il est seul avec sa superbe voix nasillarde, uniquement accompagné de ses guitares, troubadour des temps modernes, chamane rock. 

Certains titres sont joués à la guitare acoustique. Mais comme pour "Weld" (1991) ou la B.O de "Dead Man" (1996), la guitare électrique règne en maître sur nombre de morceaux, avec son cortège d'effets (saturations, slide, etc..). Alors, son instrument semble faire corps avec lui, ne faire qu'un.

L'oeuvre s'aventure alors vers des terres sonores plus expérimentales, parfaite alchimie entre la douceur du folk et la fureur du rock noise !

Et Neil prouve ainsi qu'il faut toujours compter sur lui.

"My my, hey hey

Rock and roll is here to stay

It's better to burn out...."

 

Je n'ai hélas pas encore ce disque mais il est en écoute intégral sur deezer ici : link

 

"Love and War" ballade acoustique de toute beauté.

Le plus électrique et tout aussi magnifique "Angry World".

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4 août 2010 3 04 /08 /août /2010 14:32

NeilYoung-TheSquires-1963_premier_disque.jpg

 

 

Regardez bien ce disque car ce n’est pas un vulgaire 45 Tours, ce n’est pas n’importe lequel. Ce 45 Tours, objet de culte, de fascination et de rêverie personnelle, c'est LE premier enregistrement de Neil Young.

Bref rappel historique : Septembre 1963. Grâce à une radio locale, Neil Young enregistre, avec son groupe les Squires, ce disque sur un tout petit label indépendant V Records. Un 45 Tours, deux faces et uniquement instrumentales. Face A : « The Sultan » et face B : « Aurora » ! La suite ? Neil se laissera pousser les cheveux, quittera l’école, achètera une Gretsch orange et se mettra au chant (décomplexé par la voix nasillarde de Dylan) avec, au départ, un succès plus que mitigé. A cette époque, ils reprennent, avec le concours de la fée électricité, des standards de musique folk. C’est lors d’un de ses concerts avec les Squires qu’il rencontrera un certains Stephen Stills qui sera alors très impressionné par Neil. Des années plus tard, il déclarera même « qu’il était le premier à avoir joué du folk rock » !!!!

Je serais un homme heureux si un jour, je pouvais ne serait-ce que l’entendre. J’imagine aisément l’émotion ou plutôt les flots d’émotions m’envahissant à l’écoute de ces deux titres. Mais pas n’importe quels titres. Ils représentent la genèse, les premiers pas artistique de cet immense songwritter, sorte de source artistique originelle !

Il me vient à l’esprit ce film de Théo Angélopoulos « Le regard d’Ulysse » (1995). Le héros, un réalisateur exilé (joué par Harvey Keitel), revient dans les Balkans à la recherche des bobines originales du premier film des frères Manakis. Il veut ainsi trouver le premier enregistrement cinématographique de l’histoire de son pays, un film vierge de tout. Mais c’est surtout son premier regard à lui, son inspiration qu’il espère (re)trouver !

Si par hasard quelqu’un le possède en MP3 et souhaite le partager, alors....« I’m your man » !!!!!!!!! MERCI.

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20 août 2009 4 20 /08 /août /2009 13:03

D.Scrima13

 

Voici un dessin du Loner réalisé par l'excellent dessinateur David Scrima. Il est extrait de ces carnets de croquis titré "La B.O de mes jours".

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18 août 2009 2 18 /08 /août /2009 14:44

Neil_Young_-_Everybody_Knows_This_Is_Nowhere_(Front)

 

C'est en mai 1969 que sort ce second album de Neil Young, le premier avec The Crazy Horse.

Ce disque sera la fondation du son Neil Young & The Crazy Horse.

Un disque inusable, indémodable car au delà des modes et autres "hypes" préfabriquées. Un disque sauvage, "roots", sorte de blues rock épileptique. La guitare du Loner y fait des merveilles. 40 ans déjà et Neil Young est toujours là. C'est un modèle inégalable de vieillissement digne dans le rock, un modèle !            

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11 août 2009 2 11 /08 /août /2009 18:16

"Dead Man" de Jim Jarmusch, musique de Neil Young (1996)

 

La B.O signée Neil Young est superbe. Seul, "loner" avec sa guitare électrique, il a joué en regardant la projection de ce film atypique et a improvisé, illustrant à merveille cette errance du personnage de Blake (Johnny Deep) dans ce western décalé, poétique et onirique !

"Dead Man", western psychédélique ? Film des morts ? Road-movie chamanique ??? A vous de jugez !!!

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21 janvier 2009 3 21 /01 /janvier /2009 21:01

Nyoung_1970"Everybody knows this is nowhere" de Neil Young & Crazy Horse (1969, Reprise Records).

Après son premier disque solo, Neil n'est pas content. Le résultat n'est pas à la hauteur de ses attentes, notamment du à un mixage expérimental. En effet, la maison de disque a voulu tester un nouveau procédé rendant sa voix quasiment inaudible. Il part donc à Los Angeles pour retrouver un groupe qui avait déjà croisé sa route, The Rockets. Il embarque alors Danny Whitten (guitare, choeurs), Ralph Molina (batterie) et Nick Talbot (basse) et les renomme du nom d'un chef Indien, Crazy Horse.
Avec l'ingé son David Briggs, ils s'enferment tous en studio pour produire un disque, mais quel disque !!


3 titres se démarquent immédiatement, pour devenir de futur classique : "Cinnamon Girls", "Down By The River" et "Cowgirld In The Sand", le dernier composé quand le Loner avait 40 °C de fièvre. Si beaucoup considèrent "Harvest" comme la pierre angulaire de son œuvre, "Everybody Knows This Is Nowhere" est la matrice de sa face électrique, rock et rageuse.
En effet, dans cet album tout de bruit et de fureur, toutes les composantes rock Neil Youngienne sont là :

Son brut, cru et dépouillé, Blues Rock primitif croisé de Folk sauvage et de Country-rock épileptique, jeu de guitare original et virtuose, longues parties instrumentales...et le chant du "Loner", profond et inspiré. Grâce aux chœurs de D.Whitten qui mettent en valeur sa voix, il reprend confiance en elle, après une période de doutes. Neil se sent pousser des ailes, et ça se voit, ou ça s'entend plutôt !

Y'a pas à dire, c'est vraiment la pierre de Rosette de son oeuvre, un absolu rock, son Xanadu !
Un an après, en 1970, ce sera "
After The Gold Rush", enregistré en Angleterre. Mais ça, c'est une autre histoire.
A suivre......

 

Et une superbe version Live de "Down By The River" (19min41s)

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19 janvier 2009 1 19 /01 /janvier /2009 01:42

Le Loner alias Neil Young est de retour ! Un album solo est prévu courant mars. On se régal d'avance. Son titre est déjà connu : "Fork In The Road" !

Ses archives, promises depuis longtemps, vont être exhumées. En effet, "Neil Young Archives, Volume I : 1963/72", sortent le 24 février. Attendues par les fans comme le Graal, elles pourront être enfin disponibles. Cela  représente la période où il jouait au sein des Buffalo Springfield et le début de sa carrière solo, soit 8 albums (3 avec Buffalo Springfield et 5 solo).

 

Ceci après les rééditions de deux lives sublimes, "Live At Massey Hall 1971" et "Live at Filmoore East 1972" et un autre dernièrement "Live at Canterbery House 1968" !!

Un pur régal pour les fans du chamane rock. 

 

2009 sera l'année du King of Rock Neil "Loner" Young ???

 

neilyoung_livemasseyhall_71_2.jpgneilyoungliveatfilmoore.jpgnyoung_sugarmountainlive_68jpg.jpg

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18 août 2008 1 18 /08 /août /2008 16:18

Je sais, j'ai déjà souvent parlé de Neil Young sur ce blog, mais je ne peux m'empêcher de récidiver. Je vais même créer une rubrique spéciale Loner.

Voici donc ma sélection, forcément subjective et personnelle parmi sa magistrale discographie, de mes albums préférés  de ce chamane du folk rock.

 

Album200150_2
"EVERYBODY KNOWS THIS IS NOWHERE" (1969) : Second opus solo fondateur du son Neil Young & The Crazy Horse : brut et épuré, mélodies superbes, savant mélange de folk, de country et de rock teinté de blues. Sur ce disque se trouvent les classiques "Cinnamon girl" qui ouvre l'album, "Down by the river" et "Cowgirl in the sand", deux titres de blues-rock lyriques et épiques de plus de neuf minutes !

 

 

 

 

Harvest

"HARVEST" (1972) : Enorme succès devenue culte aujourd'hui, cet album est un sommet de folk et de country-rock aux arrangements magnifiés par un orchestre symphonique. Un chef d'oeuvre bucolique, rural et emplie de liberté !

 

 

 

 

 

 

 

Album200151

"ON THE BEACH" (1974) : Neil convoque la fée électricité. Blues épileptique, guitares slides, atmosphère glauque et dépressive, finit la période post-hippies de "Harvest" et son folk-country pour un retour à la dure réalité ! Longtemps le Graal tant recherché des collectionneurs de vinyls, "On the beach" a enfin été réédité en C.D en 2003.

 

 

 

 

 

Album2001586

"ZUMA" (1975) : Peut-être sa pochette la plus moche, mais pour moi, son meilleur disque ! Le guitariste Danny Whitten, mort par overdose, est remplacé par Frank Sampedro au sein du Crazy Horse. Album de l'apaisement et de la sérénité. Exit la période dépressive post-"Harvest" ! Sommet de cette oeuvre, l'incontournable "Cortez the killer".

 

 

 

 

 

Tonightsthenight

"TONIGHT'S THE NIGHT" (1975) : Neil est au plus mal après les décès de deux de ses proches, Danny Whitten et le roadie Bruce Berry. Sous l'emprise de l'alcool et des drogues, il plonge dans les méandres de son âme torturée pour créer ce disque noire, sombre et dépressif, sorte de grand exorcisme quasi chamanique. Un chef d'oeuvre à la beauté malade !

 

 

 

 

 

Arcweld Neilyoungthecrazyhorse_arc  

 

 

 

 

 

 

 

 

"ARC-WELD" (1991) : En pleine période grunge, shoegaze et noisy, album live enregistré lors d'une tournée d'anthologie, dont Sonic Youth assurait les premières parties. Résultat : 

§ "WELD", double C.D remplis de tubes joués a 100 à l'heure comme "Crime in the city" ou "Cinnamon girl", d'interprétations épiques de titres comme "Cortez the killer" ou l'indépassable "Like a Hurricane".

§ "ARC", disque composé d'une seule et longue plage de plus de trente minutes, dérives bruitiste faite de digressions sonores, de guitares noise, de drones, préfigurant ainsi la B.O de "Dead man" ! Nirvana, Radiohead, My Bloody Valentine, Sonic Youth, Pixies, Slowdive, Ride & pas mal de groupes shoegaze et/ou "bruitiste" ont pris des notes..........Sa descendance semble infinie !

 

 

Mirrorball

"MIRROR BALL" (1995) : Sans ses fidèles Crazy Horse mais accompagné du groupe grunge Pearl Jam (non crédité pour d'obscures raisons commerciales), le Loner signe-là un disque électrique, rock'n'roll et prouve qu'à cinquante ans, il n'a rien perdu de sa fouge légendaire.




                   

 

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